FiBraM, c’est d’abord la frontière. Celle qui délimite un territoire, confronte des peuples ou des classes. Sur une scène éclairée par des ampoules à filament (fibram en latin), un joueur de oud électro-acoustique, une chanteuse lyrique et deux danseurs évoluent entre deux mondes. L’un, rêvé, eldorado sans limites dans lequel tout est possible. Face à lui le monde réel, fait de frontières géographiques, linguistiques, culturelles ou générationnelles. Mais fiBraM, c’est aussi le fil très fin qui unit ce quatuor inattendu, qui réunit ceux qui, pourrait-on penser, dissonent. Dans l’espace, les ampoules guident les chemins individuels dans ce voyage ou les langages se […]